Analyse. Quand le PLR se bidonne devant le spectacle burlesque offert par Le Centre

Le parti se frotte les mains face aux difficultés de son rival dans la succession de Viola Amherd au Conseil fédéral.

Tout comme Gottéron au hockey, le PLR est le grand gagnant de ce début d’année. Ici, son président Thierry Burkart en compagnie de Damien Cottier, Karin Keller-Sutter et Ignazio Cassis (de g. à dr.) dans l’antre du dragon lors d’une assemblée du parti en 2023.Keystone

Philippe Castella

10 février 2025 à 18:55, mis à jour à 21:06

Temps de lecture : 4 min

Confortablement installé dans son fauteuil, les doigts de pied en éventail, un grand cornet de pop-corn entre les cuisses, le PLR se bidonne devant le spectacle burlesque que lui offre depuis près d’un mois Le Centre pour la succession de Viola Amherd au Conseil fédéral. En allemand, on parle de Schadenfreude, soit le plaisir malsain à se réjouir du malheur des autres.

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