Le traitement médiatique de la séparation de la star a inspiré notre chroniqueur Michaël Perruchoud
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Michaël Perruchoud
22 septembre 2023 à 15:45
Le mot de la fin » La mention «officiel» sur le site du Matin attire immédiatement mon regard. Le «officiel», ça tabasse, ça veut dire que des journalistes ont recoupés leurs informations, qu’ils sont allés au-delà de la rumeur et des saillies approximatives des réseaux sociaux. Qu’on est dans le sérieux, dans l’information.
De quoi parle-t-on sous cette mention «officiel»? De la reprise de la Crimée par l’Ukraine, de la mort du pape (Johnny, c’est déjà fait et Dylan est immortel donc…)? Non. Le frémissement qui me parcourt ne m’empêche pas de déchiffrer la suite: Ariana Grande est divorcée.
Comme, honte à moi, je ne connais pas cette femme au talent sans doute indispensable au bon fonctionnement de l’époque, je peine à discerner l’importance réelle de la nouvelle entre une Libye meurtrie et un climat au taquet.
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Un spectacle somptueux, pour la première fois hors d’un stade: la cérémonie baptisée «Seine Olympique» a marqué les esprits et l’histoire. Notamment grâce aux athlètes de Parkour et surtout sous la pluie.
