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Fribourg Olympic. Le «général» est de retour aux affaires

Porté par son «général» Eric Nottage (24 points, 6 rebonds et 4 assists), Fribourg Olympic a pris le meilleur sur Monthey (94-73). Après une coupure de deux semaines, ce succès prouve que les Fribourgeois restent solides, très solides même.

Reposé, Eric Nottage a réussi un match plein contre Monthey. © Jean-Baptiste Morel

François Rossier

François Rossier

3 mars 2024 à 14:25

Temps de lecture : 1 min

Après la coupure internationale de deux semaines, Fribourg Olympic n’a pas manqué son retour aux affaires. A domicile, devant 1623 spectateurs, il a battu Monthey sans trembler (94-73). On pouvait s’y attendre. Qu’il se soit appuyé sur sa défense et la force de son collectif pour y parvenir n’aura pas non plus étonné grand monde. Tout en maîtrise, les Fribourgeois ont déroulé, assuré et rassuré. La défaite subie à Massagno n’était qu’un accident de parcours.

Si Olympic n’a pas tremblé, il le doit notamment à son «général» Eric Nottage. Sans remettre en question le talent de l’Américain que tout le monde sait grand, ses dernières performances, plutôt ternes, en avaient interpellé plus d’un. Après un début de saison tonitruant, le topscorer fribourgeois avait marqué le pas en 2024. Au point de passer au travers du Final 4 de la Coupe de la Ligue. Sans conséquences pour Olympic, qui avait trouvé d’autres ressources pour s’imposer sur la Riviera, mais pas sans soulever quelques questions. Son entraîneur Thibaut Petit le lui avait fait remarquer. «Je n’étais pas inquiet, mais je n’étais pas satisfait», précise le technicien belge.

Avec les batteries pleines

Reparti une dizaine de jours aux Etats-Unis pour fêter l’anniversaire de sa première fille et assister à la naissance de sa deuxième – «Un moment riche en émotions», commente-t-il pudiquement –, le meneur américain est revenu avec les batteries pleines. «J’étais fatigué, avoue-t-il. Surtout physiquement. La coupure m’a fait le plus grand bien. Je n’ai rien fait pendant 2-3 jours, mais ensuite j’ai quand même bossé tous les jours», explique-t-il.

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