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Eric Nottage, le «général» du Fribourg Olympic

Arrivé l’été dernier, l’Américain sait tout faire sur un parquet. Précieux et indispensable pour Olympic

Eric Nottage: un vrai leader et un gagneur qui joue pour l’équipe d’abord. © Jean-Baptise Morel

François Rossier

François Rossier

9 janvier 2024 à 18:15

Temps de lecture : 1 min

Basketball » Fribourg Olympic aurait difficilement pu tomber mieux. Avec Eric Nottage, le quintuple champion de Suisse en titre a déniché un «général», comme le nomme son coéquipier Killian Martin. Leader apprécié, l’Américain sait tout faire sur un parquet. Et il le fait avec panache. «C’est un joueur qui déplace les foules», salue Natan Jurkovitz, qui n’est pas le moins spectaculaire des Fribourgeois.

Avec 14 points, agrémentés de plus de 6 rebonds et 6 assists de moyenne, Eric Nottage n’est pas étranger à l’excellent début de saison du Fribourg Olympic, qui n’a pas encore perdu le moindre match à l’heure d’accueillir Union Neuchâtel, ce mercredi à 19 h 30 à Saint-Léonard, pour le compte des quarts de finale de la Coupe de la Ligue, match initialement prévu à la fin décembre mais reporté en raison d’une hécatombe de malades dans les rangs fribourgeois. «On a recruté Eric pour ses points, ses rebonds, ses assists et sa défense. Il a souvent coché toutes les cases cette saison», se félicite son entraîneur Thibaut Petit, qui, depuis quelques semaines, envoie systématiquement son meneur-arrière aux basques du meilleur scoreur adverse. «Mon rôle est d’être partout sur le terrain», résume le topscorer fribourgeois.

Encore meilleur

Découvert lors de ses passages à Massagno, puis aux Lions de Genève, l’Américain, 29 ans depuis un mois, semble avoir pris une autre dimension depuis qu’il évolue sous le maillot fribourgeois. «Je suis plus agressif, et je lis mieux le jeu qu’avant», estime le principal intéressé, devenu meilleur shooteur avec les années, à en croire son capitaine. «Avant, quand on l’affrontait, on avait pour consigne de le laisser tirer. Maintenant, on espère que les adversaires lui laissent de la place, car on sait qu’il va marquer», sourit Jurko.

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