Avec 17 athlètes dans six embarcations à Paris, l’aviron suisse a battu un record. «Jamais je n’aurais pensé réussir ça en quittant Tokyo il y a trois ans», avoue Christian Stofer, le directeur de la fédération, qui espère «au moins une médaille».
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François Rossier, Paris
30 juillet 2024 à 15:25
L’aviron est l’un des grands pourvoyeurs de médailles pour la Suisse aux Jeux olympiques. Sur les tablettes historiques, la discipline se classe même, avec ses 24 médailles, au troisième rang, loin derrière la gymnastique (49), mais tout près du cyclisme (25). Après l’échec des vététistes à Paris, il n’est pas impossible que les rameurs grappillent même un rang. C’est dire l’importance de ce sport dans notre pays.
La Villaroise de 22 ans ne finit pas d’étonner. Samedi près d’Amsterdam, elle a pris la 2e place de la course des championnats d’Europe. Une semaine plus tôt, elle avait remporté une course à Gérardmer, dans les Vosges, preuve qu’elle a du coffre et qu’elle récupère rapidement.
