Patrouille des glaciers. Une peine double difficile à avaler
A la déception de l’annulation de la 1re vague s’ajoute l’amertume des gros montants engagés et «perdus». Des régionaux témoignent.
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Jonas Ruffieux
16 avril 2024 à 21:02
Temps de lecture : 3 min
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C’est la double peine pour les patrouilleurs de la première salve, qui devaient s’élancer dans la nuit de mardi à mercredi. A la déception de l’annulation s’ajoute un aspect non négligeable: la finance d’inscription n’est pas remboursée. «Ce n’est jamais agréable de perdre 500 francs dans le vide», concède Xavier Büchler.