Documentaire. Marion ou la métamorphose, un film juste et pudique
La plasticienne Marion Sellenet se confronte à sa myopathie dans un très beau moyen métrage où images filmées et collages se mêlent admirablement.
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Arte/Bachibouzouk/dancingDogs
3 décembre 2024 à 09:53
Temps de lecture : 2 min
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C’est lors d’un camp de canoë, l’année de ses 15 ans, que Marion Sellenet ne parvient plus à lever l’un de ses bras. Peu après, elle apprend qu’elle est atteinte d’une forme de myopathie, la dystrophie facio-scapulo-humérale (FSH). Vingt ans plus tard, alors qu’elle est devenue une plasticienne de talent, elle signe avec Laëtitia Moreau un très beau film (52 minutes) sur son parcours, intitulé Marion ou la métamorphose, à voir sur le site d’Arte jusqu’au 23 février prochain.