J’ai testé pour vous: le simulateur de parapente à la Tour vagabonde

Un homme est sur le point de s’élancer. «Il ne faut pas sauter, mais courir», lui crie-t-on. C’est noté. Je suis le prochain et je tiens à faire les choses bien. Je fais brièvement la connaissance de Bidide, qui a besoin d’environ cinq minutes de préparation avant de lancer un nouveau parapentiste en herbe. L’interaction est donc brève, et mon tour arrive incessamment. David Baeriswyl, Bidide de son nom d’artiste, m’attache au siège en expliquant deux ou trois détails techniques. Là, je vois l’écran s’allumer avec un compte à rebours. 5, 4, 3, 2, 1, c’est parti. Je cours (en ne sautant pas) et sens rapidement que je m’élève à six mètres du sol, l’écran géant face à moi.