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Haut-Intyamon. Le Conseil général séduit un peu, mais fait surtout douter

En vue de la votation du 3 mars, une séance d’information a été organisée mercredi à Albeuve pour discuter des avantages et des inconvénients d’un Conseil général.

La syndique de Riaz Catherine Beaud a expliqué comment son exécutif s’est adapté au Conseil général instauré en 2016. © Antoine Vullioud

Xavier Schaller

Xavier Schaller

10 février 2024 à 02:05

Temps de lecture : 1 min

Un Conseil général, comment ça marche, à quoi ça sert et combien ça coûte? En résumé, ce sont les réponses à ces questions que sont venus chercher les citoyens d’Haut-Intyamon, mercredi soir, à Albeuve. Ils étaient une huitantaine à avoir répondu à l’invitation du Conseil communal, pour se préparer à la votation du 3 mars. Ils devront alors choisir s’ils veulent remplacer leur assemblée communale par un Conseil général.

Pour nourrir le débat, les initiants du projet et trois invitées étaient aussi présents. Directrice de l’Association des communes fribourgeoises, Micheline Guerry-Berchier a ouvert les feux sur les questions techniques. Concernant les coûts, elle a d’abord fait une réponse de Normand: «Combien cela coûte? C’est une vraie question à laquelle il n’y a pas de vraie réponse.»

Au moins deux fois l’an

Comme pour l’assemblée communale, le Conseil général doit légalement siéger au moins deux fois par an. «Dans les faits, c’est plutôt quatre, pour suivre le travail des commissions, avec autant de séances de préparation.» Elle a finalement avancé un chiffre: «Allègrement 30 000 francs, sans compter le travail de secrétariat ni les frais administratifs qui en découlent».

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