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Justice. Jean-Marc Angéloz assure n’avoir fait que son devoir de journaliste

Accusé d’instigation à violation du secret de fonction dans l’«affaire Godel», le journaliste Jean-Marc Angéloz s’en est défendu vendredi devant le juge de police de la Sarine. «L’information est l’oxygène de la démocratie, n’étouffons pas les valeurs fondamentales de notre pays», a-t-il déclaré.

Jean-Marc Angéloz a expliqué avoir voulu apporter un éclairage inédit sur le fonctionnement de l’Etat et le travail d’un membre du gouvernement. © Alain Wicht-archives

Marc-Roland Zoellig

Marc-Roland Zoellig

9 février 2024 à 19:20

Temps de lecture : 1 min

Ils ne sont pas sur la même longueur d’onde. Lors de leurs retrouvailles devant le juge de police de la Sarine vendredi, le procureur général fribourgeois Fabien Gasser et le journaliste Jean-Marc Angéloz ont placé les enjeux de l’«affaire Godel» à des niveaux très différents. Selon l’auteur du controversé livre d’entretiens avec l’ancien président du Conseil d’Etat, appuyé par son avocat Patrik Gruber, plusieurs principes fondamentaux de l’ordre démocratique, tels que la liberté de la presse, d’opinion et d’information, seraient remis en cause s’il n’était pas acquitté de l’accusation d’instigation à violation du secret de fonction (La Liberté du 1er février).

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