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Économie Régionale

Santé. La start-up Xemperia veut traquer le cancer du sein à partir du sang

La start-up fribourgeoise mise sur une nouvelle méthode pour diagnostiquer le cancer du sein. Elle ambitionne de mettre sur le marché sa solution d’ici à 2026 ou début 2027.

Curzio Rüegg et Sarah Cattin figurent parmi les fondateurs de la start-up Xemperia, issue de l'Université de Fribourg. © Jean-Baptiste Morel

Thibaud Guisan

Thibaud Guisan

27 janvier 2024 à 13:50

Temps de lecture : 1 min

Détecter un cancer du sein à partir d’une prise de sang, c’est l’innovation que propose la start-up Xemperia SA. Cette jeune société, spin-off de l'Université de Fribourg, vient d’être inscrite au Registre du commerce, mais elle s’appuie sur des recherches menées depuis plus de dix ans. Son ambition: commercialiser sa solution d’ici à début 2027. «Le marché peut être immense, même si c’est un défi pour y accéder. Si nous réussissons, les retombées seront très importantes», prédit Curzio Rüegg, professeur de médecine à l'Université de Fribourg, cofondateur et directeur de Xemperia.

La jeune société compte à ce jour une équipe de cinq personnes, dont les deux autres cofondateurs, Sarah Cattin, responsable de l’innovation technologique, et Tuto Rossi, en charge des aspects juridiques. Les effectifs sont appelés à s’étoffer au gré des futurs développements. Pour l’heure, la start-up bénéficie de l’accompagnement de Fri Up, l’association qui soutient les jeunes pousses dans le canton de Fribourg, et d’Innosuisse, l’agence de promotion de l’innovation de la Confédération.

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