Désignée ce jeudi candidate à l’élection présidentielle américaine, la démocrate a rendu le sourire aux membres de son parti. Désormais, c’est Donald Trump qui se retrouve dans la peau du ringard, selon François Mauron, rédacteur en chef de La Liberté.
Partager
22 août 2024 à 15:55
Kamala Harris va-t-elle devenir la première présidente des Etats-Unis? Il serait bien sûr prématuré de l’affirmer. Mais la démocrate de 59 ans, officiellement désignée ce jeudi candidate de sa formation à l’élection présidentielle du 5 novembre, a le vent en poupe. Un mois après le retrait de Joe Biden, son entrée en lice dans la course à la Maison-Blanche a donné un nouveau souffle à la campagne du parti à l’âne.
Les accords sectoriels avec l’Union européenne présentés ce vendredi par le Conseil fédéral sont cruciaux pour l’économie suisse. Mais, avertit François Mauron, rédacteur en chef de La Liberté, la partie ne fait que commencer pour le gouvernement.
