La Liberté réalise un numéro spécial sur le loup. Selon le rédacteur en chef, François Mauron, les Suisses doivent apprendre à vivre avec le prédateur.
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17 mai 2024 à 19:36, mis à jour à 19:45
Depuis la nuit des temps, la figure du loup nourrit l’imaginaire collectif. Ennemi héréditaire et parfois fantasmé de l’homme, le grand prédateur, il est vrai, a plus d’une fois donné des verges pour se faire fouetter. S’il se nourrit essentiellement de gibier, il ne dédaigne en effet pas s’attaquer aux troupeaux d’ovins, voire de bovins, quand ce n’est pas – beaucoup plus rarement, heureusement – aux êtres humains eux-mêmes.
Les citoyens suisses ont balayé ce dimanche la réforme de la loi sur la prévoyance professionnelle. Selon François Mauron, rédacteur en chef de La Liberté, le camp bourgeois a eu le tort d’enterrer le compromis passé entre les partenaires sociaux.
