18 août 2024 à 18:10, mis à jour à 18:55
L’homme portait beau. Il ne nous en voudra pas car il disait cela de lui-même. Alain Delon était beau. Avec ou sans Borsalino sur la tête, il imposait le respect. Ses yeux d’un bleu perçant, son visage aux proportions parfaites et son physique félin ont fait de lui une véritable icône. Mais pour en faire un monstre sacré, il en fallait plus.
Les citoyens suisses ont balayé ce dimanche la réforme de la loi sur la prévoyance professionnelle. Selon François Mauron, rédacteur en chef de La Liberté, le camp bourgeois a eu le tort d’enterrer le compromis passé entre les partenaires sociaux.
