L’ensemble de musique contemporaine, dirigé par Stéphane Mooser, pose ses instruments à Rome: il illustre les styles musicaux des années 1960, dont le compositeur Valentin Villard s’inspire pour une création.
Partager
20 mars 2024 à 00:00, mis à jour à 15:38
Après l’avant-garde viennoise de la Belle Epoque et en attendant le foisonnement de New York dans les années 1990, l’ensemble Diachronie pose ses instruments dans la Ville Eternelle. La Rome des années 1960 pour être précis, celles de Nino Rota et de Salvatore Sciarrino. Le deuxième concert de la saison de l’ensemble, à écouter ce samedi au Phénix, à Fribourg, s’intéresse à cette période qui a été à la fois «héritière de la tradition» et particulièrement «expérimentale», explique Stéphane Mooser, directeur musical.
Sa 20 h Fribourg
Le Phénix.
Le trompettiste franco-libanais fait son retour en fanfare avec un nouvel album plus festif et inclusif que jamais. Espéranto dansant qu’il présentera sur la scène d’Equilibre vendredi soir. Interview.
