SJ
22 mars 2024 à 00:00
Temps de lecture : 1 min
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Si chacun pouvait consacrer deux mois par an à voyager, le monde marcherait moins sur la tête. Le Bâlois Johann Burckhardt n’a rien d’un Waldstätten étriqué. Très jeune, il se passionne pour la culture arabe. Engagé comme espion-baroudeur par la couronne britannique au début du XVIIIe siècle, il sillonne l’Orient et redécouvre les sites antiques de Pétra. D’une folle poésie épique.
Masse/Vitrebert, L’Espion d’Orient, Ed. Delcourt Mirages.
Perrissin/Sterckeman, Voyage avec un âne, Ed. Futuropolis.