Des entreprises suisses s’opposent à la surconsommation de cette journée de promotions et en font paradoxalement un argument de vente même si elles se défendent de toute récupération commerciale.
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27 novembre 2024 à 17:51
Echanger au lieu d’acheter. C’est le credo de Freitag pour le Black Friday. Dénonçant des réductions massives de prix durant cette journée de soldes, le fabricant de sacs recyclés n’ouvre pas ses boutiques ce vendredi. A la place, il propose des soirées d’échange de besaces dans une vingtaine de ses enseignes.
L’homme le plus riche de Suisse, Gérard Wertheimer, est un homme d’affaires français qui s’est installé à Genève. Des centaines d’autres millionnaires étrangers devraient suivre l’exemple du copropriétaire de la marque de luxe Chanel.
