Critique. L’enthousiasme du Swiss Orchestra
Lena-Lisa Wüstendörfer dirigeait vendredi à Fribourg la phalange helvétique dans quatre œuvres inspirantes, tirées du répertoire classique, romantique et contemporain.
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Aujourd’hui à 21:20, mis à jour à 21:42
Temps de lecture : 3 min
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Redoutablement précis, d’un formidable engagement, mais sans aucune esbroufe: le Swiss Orchestra et son soliste, Teo Gheorghiu, ont eu le talent d’illuminer la soirée de vendredi, à la salle Equilibre, à Fribourg. Leur passage dans le cadre de la saison de la Société des concerts s’intégrait dans une tournée de six dates: de quoi avoir l’occasion de peaufiner, soigner, polir cette 41e Symphonie, dite «Jupiter», de Mozart, et le Troisième Concerto pour piano de Beethoven.