Enrico Marini publie le tome VII de sa sauvage saga antique Les Aigles de Rome. Un récit historique entre fraternité, violence et sexe. Rencontre
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Jean-Philippe Bernard
6 décembre 2024 à 00:00
Toutes les terres du monde connu sont occupées par les Romains. Toutes? Non! Au nord, une région résiste «encore et toujours» à l’envahisseur. Un endroit maudit connu sous le nom de Germania. Dans la brume maléfique, diverses tribus qui, d’ordinaire, peinent à cohabiter, s’entendent pour exterminer les envahisseurs. Récemment, lors de la bataille de Teutobourg (l’an 9 après J.-C.), trois légions (22 000 hommes environ) du gouverneur Varus ont été pulvérisées par des barbares aux ordres d’Arminius, un Germain formé au maniement des armes du côté de Rome…
Enrico Marini, Les Aigles de Rome, livre VII, Ed. Dargaud, 62 pp.
L’illustratrice genevoise Cati Baur livre une BD transgressive, sur le ton de l’intrigue policière, pour mettre en scène le mitan de la vie d’une femme, quand tout est à réinventer.
