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16 juillet 2024 à 22:26
Temps de lecture : 3 min
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Le croira-t-on? Ils étaient acceptés et vivaient parmi nous. Il leur arrivait même d’être célébrés. Dans un film et dans un air fameux, en 1942, Fernandel chantait: «On m’appelle Simplet/L’innocent du village/Doux comme un agnelet/Je mène la vie d’un sage.» Michel Audiard plus tard: «Heureux soient les fêlés car ils laisseront passer la lumière.»