Logo

Le mot de la fin

Chronique. Nous les appelions les simplets

Fernandel en 1942 dans Simplet, film dont il était également le réalisateur.
DR

Pascal Bertschy

Pascal Bertschy

16 juillet 2024 à 22:26

Temps de lecture : 3 min

Le croira-t-on? Ils étaient acceptés et vivaient parmi nous. Il leur arrivait même d’être célébrés. Dans un film et dans un air fameux, en 1942, Fernandel chantait: «On m’appelle Simplet/L’innocent du village/Doux comme un agnelet/Je mène la vie d’un sage.» Michel Audiard plus tard: «Heureux soient les fêlés car ils laisseront passer la lumière.»