Michaël Perruchoud
13 avril 2024 à 00:00, mis à jour à 08:11
Temps de lecture : 3 min
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Le grand costaud tatoué fait claquer sa portière, ouvre le coffre de sa voiture et me tend la main. «Salut, on m’appelle le Géniteur.» «Bonjour, moi c’est Michaël», dis-je en imitant son geste. Il me broie savamment les phalanges avant de me tendre deux glacières archipleines à convoyer d’urgence dans le champ où s’agglutinent les convives.