7 février 2024 à 00:35
Charles III a un cancer. Le destin dans toute sa splendeur fatale: il frappe un homme qui a vécu longtemps dans le dépit de n’avoir pas le premier rôle, et maintenant qu’il le tient enfin, la maladie pourrait le lui arracher.
Cette entame est-elle assez théâtrale? Quand l’heure est grave, pardon, il s’agit d’être dans le ton. Autrement dit dans l’esprit dramatique des médias, remplis d’idées reçues et construisant des romans à propos de tout.
A ce jeu, la presse britannique demeure imbattable. Nul n’a besoin de lui rappeler cette vérité: les mélos ont toujours du succès, tant le public aime les grosses situations traditionnelles.
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