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Sports de combat

Un chauffeur de taxi complètement perdu


3 juin 2014 à 23:32

En 2008 et en 2009, je me suis rendu trois fois au Vietnam pour mieux faire connaissance avec la femme qui est aujourd’hui mon épouse. Nos déplacements à Hô-Chi-Minh-Ville se faisaient à moto. J’avais deux bonnes raisons de serrer fort ma dulcinée: l’amour et sa façon pas toujours prudente de conduire. En 2014, la donne a changé avec nos deux fils, l’un âgé de trois ans, l’autre de 16 mois. Car même si nous avons vu des familles à cinq sur une moto (pas de casque pour les enfants!), notre prudence est restée bien helvétique avec des trajets en taxi. Nous avons pu côtoyer une trentaine de chauffeurs, autant d’occasions de prendre un peu la température du pays. Il y a eu celui qui nous a chanté un bout de «La vie en rose», l’étudiant qui attendait de passer à autre chose ou le père de famille se plaignant de ses horaires de travail. Mais la palme revient sans aucun doute à celui qui ne connaissait pas la ville. C’est ma femme qui lui a indiqué le chemin! On est arrivé à bon port, mais il n’a pas eu de pourboire… TT

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