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Sports de combat

Le tireur suisse est un épéiste

Au détriment du fleuret et du sabre, la Fédération suisse d’escrime ne jure que par l’épée. Pourquoi?

A l’épée, pas de sentiment d’injustice: le premier qui touche allume la lampe.

Pierre Salinas

Pierre Salinas

1 février 2017 à 05:00

Escrime »   Maria Sapin Dornacher, multiple championne de Suisse: «A l’époque, on commençait par le fleuret, qui est l’arme d’apprentissage. Au club, j’étais la seule à en faire et, quand je voyais les autres qui avaient des épées avec les lumières, ça me donnait envie. Du coup, je suis allée taper dans le ventre de mon maître en...

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