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Les objets fétiches des sportifs

«En un mot, ce vélo est bluffant»

Adrien Chenaux, spécialiste du marathon, dissèque sa bête de course: 11 kilos de technologie

Le vélo d’Adrien Chenaux: réactif dans les montées, rassurant dans les descentes et 51 dents à l’arrière.

Jean Ammann

Jean Ammann

20 août 2019 à 00:03

Jamais sans mon vélo » Cet été, La Liberté raconte la relation de différents sportifs avec leur outil de travail. Septième épisode, le vélo de montagne d’Adrien Chenaux: un BMC Fourstroke 01 Two.

Dans Besoin de Vélo, Paul Fournel a tout dit en quelques mots: «Le vélo est un coup de génie.» Le vélo est génial, parce qu’il démultiplie le pas de l’homme. Le vélo, c’est un petit pas pour l’homme, mais un pas de géant pour l’humanité. Aujourd’hui, le vélo de route, le vélo historique, la machine de Bartali et Coppi, la machine des géants de la route n’a plus la cote: il est évincé par le vélo de montagne, qui permet d’échapper aux affres du trafic routier, le fléau mortel du cyclisme. Mais sous son allure pataude, le vélo de montagne, le VTT, ou le «bike», comme disent ses adeptes, trahit le même génie.

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