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«J’ai décidé que ce serait ma foi, plus celle de mes parents»

Delphine posant lors de la montée vers Pâques en 2021.

21 février 2022 à 02:01

Engagement » Si depuis son plus jeune âge, Delphine Brunisholz allait à la messe catholique régulièrement avec sa famille, priait et participait à des week-ends de pèlerinage ou sportifs avec d’autres chrétiens, c’était sans réellement se poser des questions. Ce n’est que le jour où elle a fait l’expérience de rencontrer Dieu qu’elle s’est sentie réellement concernée par la foi et que celle-ci est devenue une priorité dans son quotidien: «A ce moment-là, j’ai pris la décision que ce serait ma foi et non plus celle que mes parents m’avaient transmise», raconte-t-elle. Pour cette jeune étudiante de 20 ans, avoir la foi n’est pas toujours quelque chose de facile: il faut pouvoir trouver l’équilibre entre le temps consacré à la prière quotidienne au lever, au coucher, avant les repas ou durant les divers trajets en transports, en cours et dans les moments de loisirs. Delphine Brunisholz participe également à la messe dominicale ainsi qu’à des soirées de prières avec des groupes de jeunes. Le but n’est pas de participer au plus d’évènements possible ou de prier un maximum, mais de tout faire par amour du Christ car «quand on aime, on ne compte pas», relève-t-elle.

Au niveau de sa vie sociale, être jeune et dévouée à la religion n’a pas d’impact négatif. Pour cette collégienne, la jeunesse cherche à donner du sens à la vie et pour cela elle cherche des réponses. Parfois ce sont des recherches par rapport à la foi ou une opposition, qui créent bien souvent des discussions avec les jeunes de son entourage. Lors de ces multiples discussions, Delphine témoigne de sa foi, invite des amis à des groupes de prières et partage tout simplement ses croyances afin de montrer qu’il existe une quantité de groupes de jeunes ou des rassemblements comme les JMJ (Journées mondiales de la jeunesse, ndlr) avec une très bonne ambiance et qui s’adaptent aux besoins de chacun.

«Ce n’est pas toujours facile d’assumer ma foi, mais après je repense que Jésus est mort pour moi et je me sens mieux. Cela m’apporte tellement de joie, de paix et ça me pousse à devenir une meilleure personne, je trouve ça génial!» conclut-elle. Amélie Kadji

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