Dolores Favez, Echallens (VD)
6 mai 2024 à 15:51
M. Bertschy, dans votre Mot de la fin du 2 mai («Un bébé palestinien, ça ne vaut rien»), votre plume aiguisée et ironique nous décrit une vérité avec laquelle personne ne peut entrer en désaccord. Bien sûr, un bébé palestinien n’est en rien responsable de tout ce qui arrive. J’abonde dans votre sens.
Pour démontrer encore mieux sa verve littéraire, comme grand-maman de 15 petits enfants, je suggère à ce chroniqueur d’écrire sur le même ton un Mot de la fin décrivant cet enfant de 12 ans enlevé, retenu seul, ballotté, terrorisé. Il est Israélien, lui. Est-ce à dire qu’il ne mériterait pas également quelques mots? Au plaisir de constater prochainement l’objectivité de M. Bertschy, à laquelle je ne peux que souscrire.