Micaela Campiche, Lausanne
14 mai 2024 à 00:00
Temps de lecture : 1 min
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J’ai lu et ai été touchée par la chronique de Pascal Bertschy du 2 mai («Un bébé palestinien, ça ne vaut rien»). J’ai lu aussi le courrier du 7 mai de Dolores Favez («Un Mot de la fin unilatéral»). Peut-être serait-ce le moment de ressortir le livre de la regrettée Laurence Deonna, La guerre à deux voix? Cela dans l’espoir de repenser à nos «pour» qui engendrent des «contre». Cette situation échauffe nos esprits et jette de l’huile sur le feu de la discorde.