Prisca Harsch, esprit libre
Elle programme les arts vivants du Festival Antigel, qui mêlera bientôt musique et danse, et accompagne, entre autres, des artistes femmes
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Cécile dalla Torre
11 janvier 2020 à 02:01
Scène » «La programmation est bouclée, il reste à s’occuper de l’organisation. Mais je ne suis pas en panique, c’est mon métier.» Prisca Harsch sourit devant un café matinal. La danseuse et chorégraphe genevoise est passée de l’autre côté du rideau, elle qui a foulé les scènes d’ici et d’ailleurs durant des années. Elle programme...
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