A vingt ans, Bruno Peki est déjà humoriste professionnel. Il joue vendredi soir au Strap’ de Fribourg
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Adrien Schnarrenberger
19 février 2020 à 17:54
Humour » «Il me fait me sentir vieux.» Le compliment vient de Thomas Wiesel himself. Le Vaudois a beau n’être que jeune trentenaire, il est le témoin privilégié de l’éclosion d’un talent qui lui «rend» dix ans.
Bruno Peki, à voir demain au Strap’ à Fribourg, est en train de se faire un nom dans le stand-up. Ou plutôt un pseudonyme, puisqu’il est né Bruno Hausler en 1999, année où l’humour romand se résumait aux Pique-Meurons sur la RTS. Son patronyme étant déjà utilisé par un humoriste français, il s’est rabattu sur Peki en hommage à un arbre du Brésil, pays de sa maman. Des origines que son visage juvénile ne trahit pas. «Je suis l’enfant blond des emballages Kinder», rigole sur scène le nouvel espoir du stand-up romand.
«Bruno n’a rien à envier à ses aînés»
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La reconnaissance est importante pour Benedicte Bütler et Clemens Lüthard, infatigables défenseurs des arts circassiens et directeurs d’une école qui a suscité nombre de vocations. Ils organisent un festival de vendredi à dimanche à Prez-vers-Noréaz.
