Le goût aigre de l’infidélité
Dans deux saynètes, Claude Inga Barbey et Doris Ittig jouent les femmes trompées
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Ghania Adamo
14 décembre 2017 à 05:00
Romont » Un diptyque. D’un côté, Félix Vallotton. De l’autre, Agatha Christie. Quel rapport entre les deux? Aucun. Ou plutôt si, un rapport théâtral qui tient en deux mots: la trahison conjugale. Un argument dramatique vieux comme le monde. Pour le déployer, deux mini-saynètes imaginées par les comédiennes Claude-Inga Barbey et sa complice de toujours, Doris...
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