28 janvier 2020 à 02:01
Critique Théâtre
Ramuz, il le met dans sa poche arrière puis il s’assied dessus. Non qu’il s’en moque, Thierry Romanens. Mais il y a des œuvres comme des monuments qu’il vaut mieux contempler de biais, de crainte que leur ombre vous happe. Alors l’humour vaut toute révérence.
Ce livre, Aline, il le sort ensuite de sa poche. Le brandit, faussement...
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