Selon le rédacteur en chef de La Liberté, François Mauron, la pression pour faire partir l’actuel président des Etats-Unis était devenue beaucoup trop forte.
Partager
21 juillet 2024 à 22:32
La voix de la raison a fini par parler. En se retirant dimanche de la course à la présidence des Etats-Unis, Joe Biden a pris la seule décision qui s’imposait. Il faut dire qu’il n’avait pas le choix. Après sa performance calamiteuse lors du débat télévisé avec Donald Trump le 27 juin dernier, toute autre issue était impossible. Affaibli, toussotant, s’emmêlant les pinceaux, l’actuel président américain a révélé au grand jour l’homme qu’il est réellement aujourd’hui: un vieillard probablement atteint de sénilité, incapable de tenir les rênes de la première puissance mondiale.
Les accords sectoriels avec l’Union européenne présentés ce vendredi par le Conseil fédéral sont cruciaux pour l’économie suisse. Mais, avertit François Mauron, rédacteur en chef de La Liberté, la partie ne fait que commencer pour le gouvernement.
