Paul Grossrieder, ancien directeur du CICR
2 avril 2024 à 12:44
Temps de lecture : 3 min
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Une interview du pape à la Radio Télévision Suisse italienne a déclenché une vague de protestation générale des dirigeants occidentaux, qui se sont unanimement élevés contre les déclarations de François sur la guerre en Ukraine. Qu’a-t-il dit? «Le plus fort est celui qui voit la situation, qui pense au peuple et qui a le courage du drapeau blanc, c’est-à-dire de négocier. Et aujourd’hui, on peut négocier avec l’aide des puissances internationales. Il y en a! Le verbe «négocier» est un verbe courageux… Négocier n’est jamais une reddition, c’est le courage de ne pas conduire le pays au suicide.»