27 mai 2017 à 07:00
Essai » Alexandre Friederich est imprévisible et c’est à cela qu’on reconnaît son œuvre, déployée en ouvrages aussi improbables qu’ils sont brefs. C’est donc sans crainte de s’ennuyer que l’on se lance dans les trois petits essais que l’écrivain fribourgeois réunit à l’enseigne d’un étonnant Triptyque de la peur qui paraît mardi.
Le premier, consacré à l’angoisse,...
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