Mélancolie et éloge des marges
Jean-Paul Iommi-Amunatégui. Dans un texte bref, d’une belle intensité, l’écrivain franco-chilien rouvre le placard où gisaient, sous la poussière, l’or et les miettes de sa vie.
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Alain Favarger
1 mars 2016 à 17:09
Les longs oublis ne sont pas une autofiction, mais un essai autobiographique au sens noble du terme. La tentative de Jean-Paul Iommi-Amunatégui, un honnête homme de notre temps, de saisir, entre larmes et exaltation, ce qui a fait l’essentiel de sa vie. Une vie placée sous le signe d’une double appartenance. D’un côté l’origine chilienne, la famille bourgeoise, cosmopolite (l’auteur...
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