L’attentat contre Donald Trump est le dernier en date d’une longue série. Selon le rédacteur en chef de «La Liberté», François Mauron, le droit de détenir des armes à feu et la bipolarisation du pays exacerbent la violence aux Etats-Unis.
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15 juillet 2024 à 18:45, mis à jour à 19:07
Les Etats-Unis forment une terre de violence. Cela est vrai depuis l’origine de cette nation, qui s’est construite sur un socle de larmes et de sang. La démocratie à la mode américaine a ainsi été de tout temps entachée d’attentats contre des présidents ou candidats à la présidence. Celui perpétré contre Donald Trump ce week-end n’est que le dernier avatar d’une série qui débute au début du XIXe siècle.
L’élection présidentielle américaine aura lieu mardi prochain. Désuni comme jamais, le pays a deux faces, progressiste et conservatrice, qui se haïssent. Selon François Mauron, rédacteur en chef de La Liberté, on peut l’aimer et le craindre à la fois.
